mardi 15 avril 2008

Recherche carte-vue (photo ?), août 1914, HERVE

: plusieurs Uhlans allemands, lance en main, devant maison incendiée - celle de mon père - située (côté Battice), au coin de la rue Moreau et de l'avenue Dewandre.

mardi 1 avril 2008

Arrivée à son...terme ?

L'âge (79 + ) aidant, j'ai, comme de nombreux "Belges", été agacé par la laborieuse grossesse gouvernementale, mon voisin, quant à lui, jugeant qu'une césarienne demeure - à terme - inévitable...
Pour ce qui me concerne, (avec ou sans épouse flamande), je fus très tôt doué et motivé pour les langues germaniques, trois langues présentement fort en cause, dont mes études secondaires à l'Athénée Royal de Verviers (jadis, en 1807, "Collège Impérial"...) m'inculquèrent une connaissance effective dont je demeure fier.
Plus tard, c'est à quatre reprises que, comme fonctionnaire, j'allais devoir prêter serment de fidélité à l'artificiel Etat et à son chef : formalité n'obligeant pas à occulter une réalité, peu connue bien que beaucoup plus concrète que la déclaration de Jules Destrée. On la trouve dans la lettre stupéfiante, prémonitoire, visionnaire, prophétique, qu'écrivit au roi Louis-Philippe vers 1835, le prince Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord ; "Il n'y a pas de Belges; il n'y en eut jamais. Il y a des Français, des Flamands ou Hollandais (c'est la même chose), et des Allemands.
On a voulu faire de tout cela un peuple: point du tout; c'est un pays occupé par trois nations; elles se querelleront toujours. Que chacun vive avec les siens et tout ira bien : il n'y a point de lien comme la langue maternelle " !
Un point...final, en quelque sorte.